En écrivant mon article précédent sur La Mariée en Colère, je me suis rappelée l'ensemble des épisodes de Bridezillas que j'ai regardés lorsque j'organisais mon propre mariage. Alors non, si je peux en rassurer certain(e)s, je n'ai jamais regardé cette émission volontairement ni grand plaisir - elle était juste programmée juste avant mes 2 épisodes de Felicity du samedi matin devant lequel je prenais mon petit-dej... mais il est vrai qu'un épisode suffit pour ne plus croire dans le Bien de l'Humanité.
Pour celles qui ne savent pas de quoi je parle, le nom de "Bridezilla" vient de la combinaison de la bride (la mariée) et de Godzilla, le lézard géant qui s'éclate à détruire Tokyo de temps en temps en crachant des flammes. Mélanger donc les deux concepts, et servir le tout sous la forme d'une future mariée particulièrement aigrie et au volume sonore particulièrement élevé (notons que comme le chiwawa, plus la bride est petite, plus le volume est élevé). Alors oui, il est vrai que ces messieurs ont le droit de piquer des crises comme leur dulcinée, mais le show se fixe principalement sur ces dames qui ont tendance à maîtriser l'art du tantrum plus ou moins contrôlé, de la larme de crocodile et de l'insulte facile. Pour la touche "parité", on tombe de temps à autre sur des couples gays, mais le reste est généralement hétéro.
Le concept est simple: vous allez suivre dans chaque épisode des couples préparant leur mariage, jusqu'au jour J. Programme aussi voyeur que les émissions qui passent sur TF1, on reste scotché devant sa télé, malgré les oreilles qui saignent, pour savoir si finalement le fiancé va oser épouser le monstre qui lui sert de compagne. Je ne peux pas m'empêcher de partager avec vous un extrait lambda (= représentatif du concept et de l'échelle du drame):
Généralement, les Bridzillas s'en prennent au reste du monde, car elles ont forcément toujours raison. Et donc ceux qui s'en prennent plein la tronche, c'est bien sûr le futur marié, mais aussi les demoiselles d'honneur (avec une cible rouge sur le front de témouine), les amis, la famille, et tous les prestataires malheureux qui passeront par là. Cela finit en engueulades ancestrales, en assiettes brisées, en insultes de tout genre (elles seront toutes bippées, on n'insulte pas aux US voyons), en passant par la fugue, la rupture, la dépression nerveuse.
L'émission vous présente aussi en condensé tous les "A NE SURTOUT PAS FAIRE" lorsque vous préparez votre mariage: faire son EVJF la veille et se réveiller avec la gueule de bois après avoir picolé et flirté toute la nuit avec des inconnus en boîte (le tout sous le regard bienveillant de ses amies); insulter les prestas, refuser de les payer et casser le contrat le matin même du mariage (= pas de pièce-montée, pas de DJ, etc...); se baffrer de saloperies sous le prétexte que le stress donne faim, et insulter sa mère/sa meilleure amie quand finalement la robe ne ferme plus; obliger ses demoiselles d'honneur à perdre du poids (avec rdv sur la balance tous les jours) et se faire appeler "Princess" ou "Queen".
Ne parlons pas des hommes qui découvrent la veille de leur mariage que la Bridezilla ne veut pas d'enfant, qu'elle a décidé qu'une femme mariée ne doit pas travailler et donc qu'elle doit se faire entretenir, ou qui l'oblige à couper les ponts avec amis et famille parce que finalement, la princesse, c'est elle (véridique).
Je vous rassure (oui, j'ai senti le stress monter derrière vos écrans), les histoires se terminent généralement sur des happy endings, mais je ne sais pas si j'ai mal au coeur pour le marié qui finalement dit oui, ou pour la mariée à qui il doit manquer quelques points d'humanité et qui finalement ne profite de rien.
Allez, pour la fin, je vous en remets une petite couche:
Le concept est simple: vous allez suivre dans chaque épisode des couples préparant leur mariage, jusqu'au jour J. Programme aussi voyeur que les émissions qui passent sur TF1, on reste scotché devant sa télé, malgré les oreilles qui saignent, pour savoir si finalement le fiancé va oser épouser le monstre qui lui sert de compagne. Je ne peux pas m'empêcher de partager avec vous un extrait lambda (= représentatif du concept et de l'échelle du drame):
Généralement, les Bridzillas s'en prennent au reste du monde, car elles ont forcément toujours raison. Et donc ceux qui s'en prennent plein la tronche, c'est bien sûr le futur marié, mais aussi les demoiselles d'honneur (avec une cible rouge sur le front de témouine), les amis, la famille, et tous les prestataires malheureux qui passeront par là. Cela finit en engueulades ancestrales, en assiettes brisées, en insultes de tout genre (elles seront toutes bippées, on n'insulte pas aux US voyons), en passant par la fugue, la rupture, la dépression nerveuse.
L'émission vous présente aussi en condensé tous les "A NE SURTOUT PAS FAIRE" lorsque vous préparez votre mariage: faire son EVJF la veille et se réveiller avec la gueule de bois après avoir picolé et flirté toute la nuit avec des inconnus en boîte (le tout sous le regard bienveillant de ses amies); insulter les prestas, refuser de les payer et casser le contrat le matin même du mariage (= pas de pièce-montée, pas de DJ, etc...); se baffrer de saloperies sous le prétexte que le stress donne faim, et insulter sa mère/sa meilleure amie quand finalement la robe ne ferme plus; obliger ses demoiselles d'honneur à perdre du poids (avec rdv sur la balance tous les jours) et se faire appeler "Princess" ou "Queen".
Ne parlons pas des hommes qui découvrent la veille de leur mariage que la Bridezilla ne veut pas d'enfant, qu'elle a décidé qu'une femme mariée ne doit pas travailler et donc qu'elle doit se faire entretenir, ou qui l'oblige à couper les ponts avec amis et famille parce que finalement, la princesse, c'est elle (véridique).
Je vous rassure (oui, j'ai senti le stress monter derrière vos écrans), les histoires se terminent généralement sur des happy endings, mais je ne sais pas si j'ai mal au coeur pour le marié qui finalement dit oui, ou pour la mariée à qui il doit manquer quelques points d'humanité et qui finalement ne profite de rien.
Allez, pour la fin, je vous en remets une petite couche:
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